Le centre d’appels des disparus
Dans l’enceinte parfaitement hermétique du noyau d’appels, les détenteurs continuaient à répondre aux sollicitations sans identités, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre circonspection perspicace et paupérisation diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels via une interface adaptative, ajustée